Share Tweet
Les participants ont discuté à la fois des principes directeurs et des considérations de conception pratique entourant un modèle d’homologation de l’accessibilité. Les participants ont fait remarquer qu’il faudrait que le modèle d’homologation soit simple, fluide et évolutif. Il faudrait aussi qu’il puisse être adapté à diverses exigences en matière d’accessibilité et à divers types d’entreprises. Il devrait aussi comprendre des éléments de sensibilisation et des actions concrètes.
« Un modèle d’homologation de l’accessibilité devrait être doté de lignes directrices clairement définies afin d’établir les attentes [du client-acheteur]. Le modèle pourrait comprendre un conseil consultatif dont le mandat consistera à suivre et à modifier le programme, un registre de personnes ou d’organisations homologuées, et une… mesure des progrès réalisés d’une année à l’autre. »
« Afin de surmonter les obstacles courants en matière d’attitudes, nous avons organisé un laboratoire d’apprentissage. Ce laboratoire se concentre sur l’éducation des propriétaires d’entreprises au sujet des divers types d’invalidités et sur la manière d’instruire leur personnel. Il comprend également des renseignements sur le langage qui permet de mettre les gens en premier. «
Bien que dans l’ensemble, les participants s’entendent pour dire que les points ci-dessus sont des considérations de base, les groupes de travail de la phase 2 pourraient aussi discuter des points suivants et atteindre un consensus. L’éventail des modèles qu’implique que le terme « homologation » a fait l’objet d’un sujet de discussion.